C’est une invitation à la découverte et à l’introspection que l’artiste-peintre Mina lance à tous les amoureux de l’art, du 24 janvier au 1er février 2025. Intitulée RACINES, cette exposition, qui se tiendra dans la magnifique salle André Desrieux à Moras en Valloire, met en lumière un dialogue fascinant entre l’identité, les origines et la modernité. L’œuvre phare de cette exposition, inspirée du désert saharien et des racines amazighes de Mina, promet de captiver les regards et de susciter l’émotion.
Le vernissage, prévu le 24 janvier à 18h30, sera une occasion privilégiée pour rencontrer l’artiste et plonger dans son univers, où abstraction et émotion se mêlent harmonieusement. Découvrez dans cet article une critique bienveillante et poétique de cette toile saisissante, qui constitue l’un des points d’orgue de l’exposition RACINES.

1. Une inspiration puisée dans le désert saharien
Ce tableau, à première vue urbain, puise pourtant ses racines dans le désert saharien, une terre d’horizons infinis et de silences habités. Mina, fière de son héritage amazigh, s’inspire des couleurs brûlées par le soleil et des textures sableuses pour construire une cité imaginaire, suspendue entre ciel et terre. Les teintes ocre et dorées rappellent les dunes balayées par le vent, tandis que le bleu du ciel évoque la sérénité d’un espace intemporel. À travers ce choix esthétique, Mina tisse un lien subtil avec ses racines, transformant le désert en métaphore d’un lieu d’origine et de mémoire.
2. Une œuvre au carrefour de l’abstraction et de l’architecture
La toile présente une ville énigmatique, bâtie à coups de pinceau énergiques et texturés. Les lignes verticales, qui s’élancent avec puissance vers le ciel, évoquent des gratte-ciel modernes, mais aussi les palmiers robustes qui peuplent les oasis. Ces formes sont rehaussées par des touches lumineuses, presque éclatantes, qui rappellent les reflets du soleil sur les minéraux sahariens.
Le miroir aqueux, qui accueille le reflet de la cité, confère à l’œuvre une dimension onirique. La ville devient alors une passerelle entre le tangible et l’intangible, entre la matière et l’émotion.
3. Une thématique profondément enracinée
L’exposition RACINES explore avec force le lien intime entre identité et territoire. À travers cette toile, Mina exprime l’importance de ses origines amazighes dans sa démarche artistique. Ce tableau ne se contente pas de représenter une ville ; il questionne notre rapport aux lieux qui nous façonnent et aux racines qui nous nourrissent, même dans les environnements les plus éloignés de leur origine.
4. Une expérience à ne pas manquer
Ce tableau, comme l’ensemble des œuvres présentées dans l’exposition RACINES, invite chaque spectateur à un voyage introspectif. À la croisée de l’abstraction et de la figuration, Mina nous rappelle que les paysages, qu’ils soient naturels ou urbains, sont avant tout des états d’âme.
Le vernissage, prévu le 24 janvier 2025 à 18h30, sera une opportunité unique de rencontrer l’artiste et de découvrir son univers riche et envoûtant. L’exposition sera ensuite ouverte tous les jours de 14h30 à 18h30, sauf le lundi, jusqu’au 1er février 2025.
Un rendez-vous à ne pas manquer dans la Drôme
Avec cette nouvelle exposition, Mina affirme sa place parmi les artistes incontournables de la Drôme. Venez découvrir ses toiles et laissez-vous emporter par la beauté et la profondeur de son univers artistique.
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